SCHINUS molle

Originaire d’Amérique du Sud, Schinus molle, aussi appelé faux-poivrier, séduit par son port pleureur gracieux et son feuillage persistant finement découpé. Il produit des baies rouge rosé décoratives et dégage un parfum poivré. Très résistant à la sécheresse et adapté aux climats doux, il s’intègre parfaitement en isolé ou en alignement, apportant une touche exotique et légère aux jardins méditerranéens.

6 x 4 m Pleureur

Persistant Vert clair

Plein soleil

Printemps Jaune pâle à blanc crème

-8 °C

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Les caractéristiques du Schinus molle

Schinus molle est un arbre élégant et résistant, reconnaissable à son feuillage persistant composé de fines folioles dégagant une odeur poivrée. Son tronc tortueux et son port retombant lui confèrent une silhouette gracieuse. En été, il se pare de petites fleurs jaune crème, suivies de grappes de baies rouge rosé très ornementales. Peu exigeant, il supporte bien la chaleur et la sécheresse, en faisant un excellent choix pour les régions méditerranéennes ou aux hivers doux.

Comment utiliser le Schinus molle ?

Grâce à son port retombant et son feuillage léger, Schinus molle est idéal en sujet isolé pour structurer un jardin. Il est aussi apprécié en alignement pour créer des ombrages naturels sur de grands espaces. Sa résistance aux conditions arides en fait un excellent choix pour des aménagements urbains ou paysagers peu exigeants en entretien. En climat doux, il peut être intégré dans des massifs exotiques ou en haie libre. Ses baies décoratives ajoutent une touche colorée en fin de saison.

Quels conseils pour réussir la culture du Schinus molle ?

Schinus molle se plante en sol bien drainé, même pauvre ou sableux, avec un espacement d’au moins 5 mètres entre les sujets. Il tolère des sols légèrement calcaires mais redoute l’excès d’humidité. Une taille légère en fin d’hiver permet de maintenir un port harmonieux. L’arrosage est nécessaire uniquement les premières années, puis il devient autonome. Un paillage au pied peut être bénéfique en climat plus frais. En culture urbaine, il supporte bien la pollution et les embruns, renforçant son intérêt pour les espaces publics.